L'objectif de ces logements est de réduire et d'optimiser les espaces afin de réduire les coûts, d'offrir une plus grande liberté et une meilleure connexion avec l'environnement. Jay Schafer est le créateur du mouvement social "Tiny House", qui vise à réduire considérablement l'espace bâti dans lequel nous vivons. Ce mouvement a servi de source d'inspiration créative pour les architectes, les designers et les décorateurs d'intérieur.
De 240 à 50 m2
La surface moyenne d'une maison aux États-Unis est d'environ 240 mètres carrés, tandis que ces tiny houses visent à atteindre un maximum de 50 mètres carrés. L'objectif est ainsi de réduire et d'optimiser les espaces dans lesquels nous vivons habituellement, afin de rechercher une vie plus simple, en lien avec la nature et les espaces publics. Exemple de "Tiny House". La prémisse du mouvement est de se développer par rapport au concept, basé sur l'économie des sources d'énergie et sur l'importance de, surtout dans les grandes villes surpeuplées. L'originalité de l'idée a fait qu'un très grand nombre de personnes ont décidé d'adhérer à cette idéologie, car elle réduit les dépenses économiques et l'impact environnemental. Un autre avantage est qu'il permet une plus grande liberté pour se déplacer et visiter de nouveaux endroits.
La fonctionnalité avant tout !
Toutes les "Tiny Houses" sont construites selon le concept de fonctionnalité et d'autosuffisance et sont équipées des dernières avancées technologiques. Ainsi, ils sont conçus de manière à ce que même une petite famille puisse y vivre. C'est une solution abordable, surtout pour ceux qui soutiennent l'idée que vivre avec moins signifie vivre mieux. Le mouvement a également été soutenu par des personnes désireuses de se déplacer à la recherche de nouvelles opportunités ou de nouveaux environnements. En plus des appareils fixes, on voit apparaître de petits appareils facilement transportables. Les options de taille sont variées, mais toutes se conforment à une construction basée sur le . En termes d'utilisation, ils servent d'espaces de travail ou de bureaux, de maisons d'hôtes, de chalets ou de résidences à plein temps. Avec ce nouveau mode de vie, le débat s'ouvre : seriez-vous prêt à vivre dans un espace plus petit comme la "Tiny House" ? La qualité de vie s'en trouverait-elle améliorée si l'idée se répandait ?